GUAYAQUIL

J’en ai déjà trop vu, ça m’énerve, un fot d’conneries en continu, Raymond
Domenech Toutes ces vies magiques comme tes photos d’vacances sur Facebook ou Snap, tes potos balancent c’est naze IPhone religion de tous les mômes du quartier, c’est niqué comme un gosse qui tente de zoomer du papier
Vacuité d’I’acuité, le cash que du dépenses, enfermé dans l’virtu.el, capture d’écran
Règne de l’opinion, on s’amuse des sciences et les croyances aveuglent jusqu’à buter des gens Les séquences mentent, conséquence le nombre des cons augmentent, l’aisance manque donc on r’fle du bifton aux banques
La vie ça fait peur, donc vote pour un chef, et puis oublie tout ça ya Koh-Lanta et Top Chef La vie passionnante des Anges et des Kardashians, c’est plus cool qu’des bateaux qui coulent, des cadavres d’Afghans Plein de complotistes, de suprémacistes, des gars qui jurent qu’la terre est plate, qui assument d’être racistes
Ouais ça suffit le politiquement correct, pouvoir cracher sur une femme voilée, appeler un kainf un nègre Les femmes à la maison, surtout plus d’avortement, si les hommes tombaient enceinte est-ce qu’ils parleraient autrement ?
Je chie littéralement sur le littéralistes, les prêcheurs d’Alabama, ceux qui tuent en criant Allah u Akbar, les colons orthodoxes qui chassent les Arabes, les Bouddhistes qui massacrent au Myanmar '
Tout ça pour l’argent, la boucle est bouclée, en te rendant ignorant, ta bouche est bouchée Comme t’es abruti, tu fais d’Ia merde, dis d’Ia merde, crois d’Ia merde, ta vie d’Ia merde mais c’est cool. Amen

Champagne from de masta hands gift from de masta lands blame from de masta lips game from de master brain free ways de master plan Himself
'know those fat dripping skies full of dust thats de good yellow chant of the sun when it’s summertimes and the cotton is hot when the cotton is back high bright how it’s time cute white to kill poetry birds singin la la shit i shot the party
intoxicated ma brain locked To live in peace there’s no reason cocaine mama wash ma brain read too much books in vain awful celebration yeah
sure man money comes and goes easily lait et miel courent sur des Ophélies lubriques si faciles mais après .
un an en poste white bellies to suck so much insults to wear pas un dos en chimère du vrai avec des marques sèches et des.yeux qui pendent en arrière baisse la tête les sciures dans les mares du seigneur lève la sienne las d’être en récif dernier bus pour le sud courir

[ better to be drown in ya own blood (own blood) sinner better to be shot under guyakill sun ]


crasse crasse craquèle à la paume un volcan promesse d'un enterrement rapide et
mérité crasse petite mélodie entêtante tu t'écartes tari à la source d'un fleuve
d'alcool et de vent crasse écarts et cavalcades enfile à ta suite nuages et champs
de cotons crasse crasse crasse craquèle ton ombre absente marquée au fer du soleil qui règne en
maître crame la ville t'étend promesse d'une fin rapide et redoutée crasse fuyante
lâche au coin ton ombre plane crame absente ton ombre plane crame tenace
() la ville se pare rythmes insouciants un cocktail qui détend petite mélodie
enivrante un tarmac pour sauterelles géantes jette un os nouveau venu ancien
perdu découvre meute de chiens hurlants et fleurs qui crament au soleil vaste vaste débâcle
() crasse danse et luth du diable en personne les rangs se serrent viscères blêmes les ennemis se déterrent mais lesquels crasse la langue recule refuse crache les luttes fratricides se révèlent crasse les luttes fratricides se relèvent tenaces