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SARGASSES

by ferocious41

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    music is insanity - et je suis.
    quelque chose était pas là qui devait - c'est la dernière soyez sûr - juste tape2. L'original est toujours en dessous.
    Back to cook in Live in january, Cave12! On dira...

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  • Record/Vinyl + Digital Album

    A.

    Mobile
    Marigot
    Queensbridge
    FatCirkus

    B.

    Lagos
    Badlands
    Vienne
    Sargasses

    Estampes Originelles de Reg

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      15 CHF or more 

     

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FAUBOURGS Great fuck black bolt hardboiled 12 shiny gals inna backward scène soft comme un gun un soir de pleine peur heurte keurle the dead fall and the life crop up (bouillonne) Sir Kalfour aux doigts méticuleux retour de flammes en barres bleues le sud mec quelque chose qui susurre dans les cales des murmures sec entre Lion et Ferraille Babel Moloch web pupilles vermeils oily flames open shell a soul shiver under rain enserre scène longue consentir et soumettre je suis comme l’astre jamais serve homeland wreck what they gave shot convert burn your anger hot like tigers archaic boom submerge your future Revert the ol man damnation cocaine aux chiottes you wanna take pictures? Ride the focus (made up gangster shit, listen) Boom boom boom boom, knocking the door down Coming with the goons, got you dropping to the floor now Nothing you can do, got me bopping on the warpath Driving up to shoot, got me hopping out the sports car I know you’re coward, why I snap your head like chicken Dickhead, wrap your face in plastic to begin with Letting of the ting, shit, look at what the ting did Picking up the crown, you can call me a kingpin Wake up you’ve been overtaken, you were always overrated, all my rhymes are dope-related, I’m the guy your whore’s fellating, every time I’m motorcading, all my doors are automated, got more ice than Quartermain, copped a house for fornicating Even though my whore’s amazing, I’ve a mind to call your lady, you know I’m a bailer baby and she can’t afford to hate me, try me, know my force is blatant, my peeps will sort you matey, can you feel your nose is breaking, that’s just how we pause debating Retour aux sources la houle la foule Descente de fleuves enterrement des lendemains Piétine nocif nappes de son rêves de fuite Amorces sillons filtres volts et vibre.., vibre... Retour aux sources la houle la foule Ce soir la charge sera lourde Grosses basses infiltrées jusqu’à la moelle Grooves sales répétés jusqu’à la trame matrice de plomb grésil et fixe panique.;.. Panique... Retour aux sources la houle la foule Ce soir la récolte sera féroce constats enthousiastes et rumeurs sombres nappes de son et rêves de suie... panique... BACK to silence BACK to.the stone BACK to careless SILENCE or none For the nounce new way endless enclosed For the nounce you deft enlist enjoy BACK to careless BACK to the note BACK to silence demon and doll Presence (for you) defense half self half load Half built impressed you’re deft enjoy NATURE surrounded by groove Opium pleasure yourself out of use Feet fixed oil spot free time for all New life DREAM stocked to the backbone BACK to careless BACK to the note BACK to silence BACK to the stone , For the nounce new way endless enclosed For the nounce you deft enlist enjoy
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MOBILE Below the ground I grew in the middle of seas on leaf I live Lighter than sight faster than whale as an earthworm I lug shadows and lights my sounds my trip many defeat I make rusty I creek lasted sleep tremendous screen no rules no code I cut I stick overtaken you think I say direct and fast not for ear but arms and legs mechanical big knocks of breath it’s I always that make you sheep eyes of the first night in the last light I hang on your look tale and betrayal collected on tramp land for itself I twinckle my hits reduce to dust eternal youth Who makes what ? When and why ? I carry my prize dreams treasons,.hope and death nevertheless as fit a fiddle I dress corpses sequences Rentiers, banquiers, une pétée d’expats, parfois t’as envie d’péter d’I’expat Les Tissots, Hublots, Rolex et les Swatchs, Champagne au goulot, les caisses et les sapes Paradis fiscaux, les friqués s’évadent, Ville du Jet d’Eau, Golfe persique et ses Halls Vie de château et les riches qui s’étalent, Fuck le Jet d’Eau, bourges et fies qui les gardent . . . Vie parallèle, ville pareille à elle-même, pour moi cette zik paratonnerre Si c’est défendre ton ordre, ton p’tit confort, saches qu’j'suis pas là mec, j’pars à la guerre Qui la ramène ? Tu t’alarmes de nos vies, pas la même, tes palabres pas d’amen On vit d’maigres sous, vide aigre-doux, mais on t’rotka ta mère, shot vodkaramel J’baise tous ceux qui font gentrifier les caves, efficaces, faites consommer pour enivrer les masses Les p’tits passent à la caisse, se niquent et s’écrasent, tant pis si c’est, grave Classique ces caciques s’en tirent ces lâches, sociopathes sans empathie c’est barge Elite d’énarques remplit ses malles pour s’faire la malle, l’autre crève ton biz c’est aç
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MARIGOT [avec des larmes fiers et des yeux qui montent en rivière] labyrinthe aux mille maléfices fumée et volutes du narguilé m'enlacent m'absorbent Collée aux mailles d'une toile éternelle comme l'araignée en sursis je tisse nuages de poudre mirages et rêves saturés j'épuise les pistes sans issue évite les ronflements du veilleur endormi radieuse et fugitive j'avance entre les briques d'un mur éphémère comme l'apprenti-sorcier j'épelle au fond du couloir des cailloux et soüs chaque cailloux un mot fumeux et caillassé le gardien des lieux enrage sur qui lancer des pierres et me jauge avec méfiance mais vous ferez bien l'affaire inquiète et ballotée j'enterre le récit de mille et un combat mille et une nuit sans sommeil arrimée aux rivages avinée tel le suicidé au bord de sa falaise je tangue joyau au mille reflets cabossés avalée par une baleine je flanche stone absente Smokin the shit, drinkin the shit, sniffin the shit, pissin the shit, kissin the shit, spliffin the shit Things going sideways, getting so wavey, flying underground, feeling so amazing, every girl on scope, live gonzo baby, so much fucking dope everybody going crazy Too many trips to the toilets can’t feel my face, too many spliffs in my lungs that be high grade, too many pills on my tongue MDMA, too many nights on the drugs gonna meet my maker Of course can’t forget the drinks, JB, G&T, mainly V.O.D.K.A. when I feel the need, throat burning from the coke & Hennessey, me and the booze we’ve been working on that chemistry Lines of white in the night, Afghan in the pipe, fly man like a kite, black, tan and the white, Skunk haze in the air we huff and we puff man, every breath that we take we go up arid go up man Cup of the chill, coppin the deal, poppin the pill, flaming bush got you tripping like meeting God on a hill, so high you’ve even forgotten your meal, those nights when you’re sucking a spliff and fucking a MILF it’s de seaside bless the jet it’s de seaside bless the red cross it’s the seaside bless the churches the whores bless the bankers the rainbows cops teachers the Ghost gva in every soul modest proposal Phase final du plan maître du plan Terre du plan Serf it’s over from the beginning its gva ma friend God in hell cut his legs its an evidence for the soothsayer offended but not completely dead sewer gold in every corner its like three men on a (boat) captured in marigot so sweet [smooth] the night so clean [cool] garden some trees culture and good vibes you don’t even feel the Cream De dérives en rivages éloignés fugitive et ravagée j'élance défis chants incisifs et monocordes je trace lignes d'errance et plans sur la comète s'emmêlent à la surface fil d'Ariane destination mirage écume sillages remuent m'aveuglent je sombre au fond affluent des cailloux et sous chaque caillou un mot avides les habitants des lieux me narguent sur qui lancer des pierres un mot en vaut bien un autre inquiète et ballotée (ivre) j'ignore la plainte ressasse ressasse ressasse le récit de mille et un tourment de mille et une fureurs revers surgi des vagues telle une chimère échouée (j'écume) revenue à son point de départ je flanche (je cale) stone absente
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QUEENSBRIDGE A ce qu’ils disent. C’est curieux. Ils s’aiguillent.C’est curieux. C’est ce qu’ils disent. C’est curieux. Pour ne pas dire étrange. Pour ne pas dire en plus, en travers, en dehors. En marge ou en suspens. En voilà des manières. Va savoir. C’est curieux. A force. A tout prendre. A tout venant. Toujours sanglants. C’est curieux. La droite décomplexée, rien d’complexe, ça parle aux complexés Le règne de l’opinion, un copinage d’affreux qui règne sur des pions C’est la droite décomplexée, ignorance, rien d’complexe, ça parle aux complexés C’est le règne de l’opinion, ignorance, un copinage d’affreux qui règne sur des pions Trop d’Fillons mènent les troufions au casse-pipe, ça finit larme à l’œil, arme à feu et plastique On s’croirait de retour en l’année 36, fuck le FN et ses phalangistes Trop d’putains de fachos qui sortent de leurs marais, c’est nos libertés qui titubent comme un gars rèb Ça séduit les ambitieux comme ceux qui gâtèrent, l’empathie part en fumée comme ma cigarette A ce qu’ils disent. C’est curieux. Il s’aiguisent. A ce qu’il disent. Crocheter. Détricoter. Ravager. Raviner. Tout foutre en l’air. C’est curieux. C’est en ligne. En rythme. En parallèle. Et en hiver. C’est ailleurs. A voir. A réfléchir. A débattre. A demain presque. C’est curieux. C’est la faute des Arabes, d’I’Europe, d’Ia violence du rap, des Roms, du développement durable, des Droits de l’homme, des soixante-huitards, des hommes qui aiment les hommes La faute des féministes, des pauvres, des femmes en burkini, des intellos, du trafic du cannabis, des toxicos, du multiculturalisme des principes libéraux De la jungle de Calais en passant par les Syriens, mais tu piques dans la caisse là tu dis rien Pas d’soucis, braque comme les Balkanys, mais tu vois une meuf en hijab, là tu paniques Défends escrocs, fachos, capitalistes, leurs mensonges et faits alternatifs Célébrités vides dont la vie te fascine, du pain et des jeux, ouais Paris c’est magique . A ce qu’ils disent. C’est curieux.Râpeux. .Sirupeux. Ennuyeux. Hasardeux. Deux et deux font... C’est curieux. Pour ne pas dire étrange. Pour ne pas dire étend. Pour ne pas dire reprend. Pour ne pas dire maintenant. Pour ne pas dire attend. C’est curieux. Car voyez-vous c’est ce qu’ils disent. C’est ce qu’ils croient. C’est ce qu’ils toisent. C’est ce qu’ils broient. Ca surprend. Ça détend. S’arimant. S’avalant. Ça reprend. C’est curieux.  Rue du Rhône camp 8 Bernex PLO camp 9 camp l 0 camp vert Hermance camp d’hiver quand reconstruire le sujet camp île camp 6 cancer camp d’été la Grèce et 3 frères camp jet camp obscène dans la boue avec 6 traders en phase de fer camp merde camp glaire quand la pause est pour tous serre les veines quand, le désir en phase tiède 3 queues pour une go plan retourne ton gun contre toi-même vise au plus mal tu sais pas faire camp 1 quand je camp éternel camp je quand des trous noirs à la place d’une âme camp postmoderne sans gémellité au mal plutôt queensbridge man (m an)/ plutôt queensbridge / plutôt queensbrige Guyaquil et puis Venise aussi Des chiffres instables du baccarat des canap' longs comme des bras coupés en 4 une oasis de cris dans un désert de cages blaka bia sigua ! quelque chose comme des villes turbines usine reventes gens Napoli qui ourle du cirque sur des pont la glisse le vent///// des ombres du sang des sons du vent quelque chose qui pisse en angle infâme Paris en avril plutôt que des maisons vitres écailles sèches couronnes vide nos six cent mille GVA I see winebar camp 1 3 Blandonnex camp 1 6 enferme comme une damnation camp Terre camp verge PLR quand t’as plus de nation camp terne plutôt queensbridge m an plutôt queensbridge plutôt ma ol’gangsta queen sublime [living in in an octopoda hole hitting fightin for an octopoda dream build an octopoda realm cocooning ma own delirium i love me ]
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FAT CIRKUS Back to the vision useless it’s fragment city of light Faces no presence I’m flying to far I record no rest Sparkling in the excess of words in pieces until the end My vision dreamless it’s fragment side by side How many spit how many breaking How many sharpness how many violence How many lies to regain the peace How many money to surpass the pain End of the movie Dealing with darkness shade of yourself fealing oppressed My vision useless it’s fragment city of light toxique souple toxique liquide avalé... ravalé... avalé... ravalé... à gorge ravalée dévalée vers des lieux décalés recalé jusqu’à la suite tu sniff et tique toxique sans réplique Back to the vision useless it’s fragment city of light keep movin walk sleepless forget the failure be a good worker unstructured my plan I walk between pages until it brokes Back to the vision useless it’s fragment side by side tu râles ça râle ça gave se braque traque ressac lendemains de plainte chante complainte absolue et floue ça pue aux portiques et fixe parallaxe retape malaxe et crache toxique ça râle ça râle panique ça triche Back to the vision useless it’s fragment How many spit how many breaking How many sharpness how many violence How many lies to regain the peace How many money to surpass the pain End of the movie Dealing with darkness shade of yourself fealing oppressed (My vision useless it’s fragment city of light) Connais-toi toi même putain de saillis sèche contre un globede termites Surhomme au moins Recollection nos marais sombres nos maisons sable (places noires) rivières sales et glycines et varie Missisipi pas loin d’ici arrivent et tirent sur gva aussi Puis Grande Pluie paresse HANte paresse Puissante grande Paresse Somnolence du Boas Leste leurs évidences mes meutes de glaire qui courent sans un regard pour vous En route pour voodoo land du nerf et par derrière connais toi toi serf fils du chacal Renverse leurs héritages Acide et Barn Des marécages Nos habitats Barbares en sables Etat du soir soeur sueur du mal dépasse le sang affirme toi roi Amasse le sun Lumpen dans la gloire du Seigneur —La pluie qui ouvre son ascension recombustion distribution délire Absolution LA chair épouse mes solutions toujours partout en rivière pousse les corps en boucle blues
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I’d kill Trump, spill blood when I’m a bit drunk, and my spliff’s skunk, Russian roulette in the white wigwam, you’d like that huh ? You love gun that’s why you get gun, cause you this dumb, a whore’s your kid’s mum Take the piss, why you love the Golden Shower, tweet shit, speak shit, you’re an asshole holding power, you ain’t a man, just a teenage fucking balding coward, Agent Orange, King Louie grasping man’s red flower Fatuous face, non-stop lies to the cameraman, it’s Planet of the Apes, elected an orang-outang, you and crew fucking voters, DC gang(a)bang, make W look smart, for sure you’re the badder man, like your Daddy, Klu Klux hang(a)man, and plus hate any man who do Ramadan, spread lies like foodstuffs that’s the Bannon plan, hope a Mexican rapist catch you man to man Can’t read or write, grab women by the genitals, sexist prick show your taxes and your medicals, lost more money than you made, moved the decimal, and can’t condemn Nazis that shit says it all Lost prophets, last disciples, post-poets, faster cycles, low-cost coffins, jump off that high horse and postpone it with Rasta Bibles (x2) The inventor of the burst call me kraken River bend The most Peeled, tease the swarmer arguties des vecteurs du bois dure lorsque s’arrange en e-globe sulfure et flexible le serum en vague rut lead burn River for which everything is allowed Expand absorb cover and cry me pearls Especially carries my banks avec des larmes neuves heal dem heart Ganga for sure Comme un anaconda royal crescence as a bad blow stick up divine prescience Comme un anaconda royal crescence As an insane tree inna sky stick up divine Comme une mite dans leur SAS croissance royale as a bad blow stick up prescience totale Comme un môme hors des rails croissance royale As an insane tree inna sky stick up prescience totale slip alone like from the bottom of the nightmare ma route est mancenillier
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VIENNE Music my savior like last night DJ saved my life, could be long gone, some days I thought I’d take a life, lost some, betrayed by some, you know you pay the price, the suffering makes you numb, become like you ain’t afraid to die (x2) c’est ce qui parle quand les glycines fleurissent varie varie crime réversible et tisse et hisse sur la gauche en appui Petite chanson petites sottises musique On an' On an' On Luxuriance du cru use justesse des ravines puise Dans leur forme nocturne et ruse casse du soudard sous la couche des mes râles comme croix tes bras qui encourage quand tu m’assorles agace mes racines marie mes héritages ressers mes prophètes [rois] en format S arme toi reine rasse mes frères jette nos mères innocence became ma name when you came night nurse assume la faiblesse des moyens par la tendresse de tes serres heurte Music my savior like last night DJ saved my life, could be long gone, some days I thought I’d take a life, lost some, betrayed by some, you know you pay the price, the suffering makes you numb, become like you ain’t afraid to die (x2) Drown yourself in anything you get your hands on, they spill your blood, dispose of you, a human tampon, fall if you ain’t tough enough, man down, man gone, my salvation is in the booth, Buju Banton No music, no life, know I use it to survive, those who pay no mind, just stay stupid, undermined, don’t choose this you’re useless, Pulis number 9, stupid stuff you buy, you just do shit like Dubai Tes yeux qui carient s’irriment en soie chevauchée stable mon âme soeur en gloire comme Fatima de garces sardes à kurdes en râles ro ses s’assoit sur ma montagne petite toupies ma one écume mon membre irrupte toute poukave en moi Ouvrir le parc du Shogunat caniveau sourd pour les lieutenants je suis je sais je nerfs golem de hanches en boucle le sang pour tous baptême de mer bloomdidoo explosion noir en couche grasse sargasses en boule râle partage en souffie carcasse en gloire Nous ça Drown yourself in anything you get your hands on, they spill your blood, dispose of you, a human tampon, fall if you ain’t tough enough, man down, man gone, my salvation is in the booth, Buju Banton No music, no life, know I use it to survive, those who pay no mind, just stay stupid, undermined, don’t choose this you’re useless, Pulis number 9, stupid stuff you buy, you just do shit like Dubai Music heals my soul, release my pain on the paper page, every day stand tall, try not (to) fold like paper plane, the beat is how I’ve grown, boost of energy, Gatorade, I need to hold my own, seek out the enemy, laser game Days and days in a daze, fucked up I blaze the haze, I got Hip Hop all that good stuff, always amazed, blessed be Jamaica, NYC, LDN and if I meet my maker, it’s Hennessey and many friends tu crois que ça va durer encore longtemps frac frou-frou dentelles Or et diamants entre les dents Rêves de conquêtes A qui le tour au suivant tu crois que ça va durer comme ça longtemps Sourire aux lèvres vous en prendrez bien encore une gorgée lendemains radieux et insouciants tu crois que ça va durer durer que ça va durer mais jusqu’à quand les carrosses en forme de cloche le nid douillet l'esprit léger politique de l'autruche étouffe dans la soie le velours les plumes tapi tapi pourri jusqu'à la moelle mais bienveillant Tu crois que ça va durer durer ronge ton frein menace du poing vernis crasse caresse royaume du fric et de l'instant Tu crois que c’est déjà là ou pour bientôt la colonie sur mars Faut y croire! Faire semblant et marche! à coups de plomb! je vous dépose mademoiselle un gâteau un bonbon? Avec des forêts clairs des champs de cotton la lune bien pleine des culs du son Tu crois qu'on peut construire des tours impénétrables radeau insubmersibles îles bien tranquilles être vil être vil être vil Pan dans le mille fini les châteaux de cartes parade parade pourri jusqu'à la moelle ongles qui scintillent mais nonchalant tu crois que ça va durer encore longtemps frac frou-frou dentelles Vous en prendrez bien encore une gorgée... (Je vous dépose mademoiselle un gâteau un bonbon?) Ouaip frac frou frou dentelles Frac frou frou dentelles avec des culs du son tout va bien se passer Promis Juré.
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SARGASSE Piètres mais nombreux serpes en feu menacent aux entrailles ta paix digitale bras de fer care ta putain de reine tas de mer serre ta famille en rond de pierre parce que j’arrive stimuli glaire dans ta tess dieu ton enregistrement et mon silence est ouaip quelque chose comme le Soudan un type plein d’imagination comme toi çA tu comprends avec des bras longs et la moisson cache tes files je suis celui qui pose l’algue en douce arme les vents hisse le lumpen du bois blanc cire les parquets avec du sang frais huitre sargasse et t ’enlève t’encercle petit à petit rapace plein ta tête et pour de vrai harasse la peur ta race se broie en 10’000 rêves j’atteste la fin du sommeil fin des moraines cauchemardesque cernes gluants issus des paniques fantômes ma nuit comme un champ de safran merveilles c’est l’Autre qui frappe à ta porte Guya! Méchantes villes et consorts sur des bateaux qui s’enfuient ivres Le soleil tombe la meute est lâchée - fumée(vapeur) de pollen dans la trachée- vodka skaï c’est jamais assez ce soir y a des gueules qui vont se casser prendre les jambes à ton cou cours y a des cramés avec des coupes coupes ya des fonsdé putains des’envoient des sphères blanches comme du foufou ça s’électrise menace élécteurs et éléçtrices le selecta pull up ça c’est l’eclipse caisse.qui dérape ça c’est les quels un shlag s’écroule ça c’est les fixes, crevards aux aguets ça c’est lesquels Coups.de pieds dans la tête ça c’est les rixes, yeux rouges dans le noir ça c’est Coups d’shlass ton passé défile poudre blanche en sachet le Les têtes dansent on fait passer des disques on rêvent de révo et de casser du flic Les gos la smoke la tise l’oseille c’est ça qui fout la trique aux C’est pas la nuit qui porte conseil, on plante les gars c’est I biz qu’on sait Jamais la paix mais on fume le calumet crame des kilos de beuh à l’ail... passagers faya tirent sur les appuie-têtes, s’il me cherche sûr j’éclate la face du mec ceux qui vomissent ceux en bad trip ceux qui rugissent sur un son de batteries ceux qui jouissent ça fait des gâteries, la nuit c’est le vice c’est le son des maquis. Sortie du désert traversée des marais hélices qui vrombissent échouée des grands soirs ravale ton vingtième et un dernier petit verre le corps englobé le regard divisé pris dans le temps sans pouvoir renoncer tu sais pas comment suivre t'as envie de te presser nuits sans astres flashs PULSE ton tee-shirt toi et les murs suintent lumière tamisée tu convoites dévisage les pépites t'échappent les valeurs en usage conforme flashs PULSE la musique assourdit ça travaille à la chaîne la cadence accélère faut hocher la tête clameur muette et mise à sec avant le petit jour quelques vaincus s'essoufflent t'oscilles tu te démènes les basses te retournent dérègle flashs PULSE Les gars en chien ça brasse ça brasse peur de rien tabasse tabasse, l’air de rien fracasse fracasse fracasse, la nuit ou rien impasse impasse tourne en loop look relook reluque dérègle flash PULSE (P)????? tu déchantes voit double, voit triple, voit rouge jusqu'au bout parade soit fière soit brave conforme flash PULSE protège tes files soif du temple et des voiles long Khali Durgastan Orient Sud Ciel collines blêmes et nuits sèches aube en charpie et tout le reste qui s’appelle pas spectacle sur 4 cm mais un navire en bois sale avec des mouvements forts et des gens calmes dedans .
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PETITE BRISE Hear me Khali Durga stay lost inna white lodge like a bad agent blot blot sergent serf aux doights gourds keys clickin ma route est mancenillère kickin rêveries laisse l’enfer I know where i’m diggin Callin the light searchin a life parle le clair langage des jours de gloire Black market of the mind So many hours under clouds but you ma gal I see a bright sun in your eyes! GVA ma one GVA ma style GVA ma doll in 87 thousand positions Let me cry please cut the tracks hypostaz god is rockin en moral minime je file Dans le paks en pays frère les enfants beau comme des lions-zèbre boule de verre sauvage sur pattes de devant errent en liquide dense s’arquent en rues suprêmes souriantes navigations sur les flots bleus rasse la nation le vent s’enlace le ventre creux [rest of the song MUST be Hidden for the security of the respective MCs] One City One World One lake . One way One work 4 seasons One soul One peace One destiny One crescence One order One freedom One Church One God One freedom One fear comme une prophétie le monde libre terrible Là bien comme il faut dans notre magasin en sous-sol notre petit loft
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KOLAS NAGAR quel grand groove avec des armes cool des papillons et du prole propre une meute de soie sauterelles et paillettes gva dans sa splendeur des jours de r’eve comme un vortex des jours clairs avec des promenades sous les soleils du matin en chair et sans prix loin de la merde loin des pères des murs, raides enclos saigne sur les banques des corps taisent non ca ressemble à kolas nagar ouaip j' sais je ressasse harasse fils d’Absalom en phase avec toute la généalogie du mal je m’appuie sur les rues en nage crame toute l’innocence des nuages la foi du fou le gris une chape de plomb mantra [send by the gods my style El dorado] ouaip on est bien là on pourrait rester longtemps avec les siens ilôts de soi presque sans rien Sorokine sur 420 pages la fin en moins fils des barbus la paix qui tabasse les corps qui vrombassent le sacrement des peaux basses cette écrasement qu’on s’arrache en douce race calme le blé qui couvre tout en cendres sagace ciné or ciné parcs ciné lac cité sarde gv A la langue du huitième art les volutes de ses forces qui toraillent des reines pour tous qui queurlent en rues basses les paks acacias jonx le crédit suisse les pharmacies moi j'vois Pan partout ses flûtes d’argent qui poussent en vrille Chillin by the lake with the peeps doing barbecue, sippin chill wine, sharin a laugh or two, everybody lookin fresh, it’s summertime groove, life is good and we’re puffn on a zoot , First to the plate, blond curls and the cigarette, sweet face subtle, elegance, the chic’s the best, got the looks of a 50s movie star, sees me, weaves my way the crew be “What?” almond eyes, light frame, pair of pink lips, spend quality time, don’t care if I link chicks, she’s like “Hey babe”, I’m like “Hey babe”, eyes deep as ocean, we’re ridin on the same wave Someone hands me a shot of tequila, lose my mind and that’s when I see her, black hair, brown skin, body like Rio, her hips make you high like coke by the kilo, nails done, hair did, swagger in G mode, every time I touch her, bound for the reload, strokes my chest, licks lips and smiles, got drink and smoke, might chill for a while Number 3 swayin on Parisian high heels, that booty so round that I’m getting ideas, damn girl, how you get in those tight jeans, so black, beautiful, could be my wifey, hoop earrings, stylish, hair in tight cornrows, face and body, a perfect combo, she in my arms, her scent in my nostrils, turn to the guys like “sorry gotta go home” c’est la ville du ne...pas c’est la ville des razzias c’est une âme pour 1000 rois c’est la ville de l’immonde devenu un à peu près n’importe quoi c’est la ville des 12 tribus unies en gloire la ville des forçats c’est la nuit des Bulgares c’est la ville des grandes ailes c’est la ville des pics-nics gris et braves c’est la ville des hussards mais tout ça discret comme un mauvais rêve pris par derrière
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GUAYAQUIL J’en ai déjà trop vu, ça m’énerve, un fot d’conneries en continu, Raymond Domenech Toutes ces vies magiques comme tes photos d’vacances sur Facebook ou Snap, tes potos balancent c’est naze IPhone religion de tous les mômes du quartier, c’est niqué comme un gosse qui tente de zoomer du papier Vacuité d’I’acuité, le cash que du dépenses, enfermé dans l’virtu.el, capture d’écran Règne de l’opinion, on s’amuse des sciences et les croyances aveuglent jusqu’à buter des gens Les séquences mentent, conséquence le nombre des cons augmentent, l’aisance manque donc on r’fle du bifton aux banques La vie ça fait peur, donc vote pour un chef, et puis oublie tout ça ya Koh-Lanta et Top Chef La vie passionnante des Anges et des Kardashians, c’est plus cool qu’des bateaux qui coulent, des cadavres d’Afghans Plein de complotistes, de suprémacistes, des gars qui jurent qu’la terre est plate, qui assument d’être racistes Ouais ça suffit le politiquement correct, pouvoir cracher sur une femme voilée, appeler un kainf un nègre Les femmes à la maison, surtout plus d’avortement, si les hommes tombaient enceinte est-ce qu’ils parleraient autrement ? Je chie littéralement sur le littéralistes, les prêcheurs d’Alabama, ceux qui tuent en criant Allah u Akbar, les colons orthodoxes qui chassent les Arabes, les Bouddhistes qui massacrent au Myanmar ' Tout ça pour l’argent, la boucle est bouclée, en te rendant ignorant, ta bouche est bouchée Comme t’es abruti, tu fais d’Ia merde, dis d’Ia merde, crois d’Ia merde, ta vie d’Ia merde mais c’est cool. Amen Champagne from de masta hands gift from de masta lands blame from de masta lips game from de master brain free ways de master plan Himself 'know those fat dripping skies full of dust thats de good yellow chant of the sun when it’s summertimes and the cotton is hot when the cotton is back high bright how it’s time cute white to kill poetry birds singin la la shit i shot the party intoxicated ma brain locked To live in peace there’s no reason cocaine mama wash ma brain read too much books in vain awful celebration yeah sure man money comes and goes easily lait et miel courent sur des Ophélies lubriques si faciles mais après . un an en poste white bellies to suck so much insults to wear pas un dos en chimère du vrai avec des marques sèches et des.yeux qui pendent en arrière baisse la tête les sciures dans les mares du seigneur lève la sienne las d’être en récif dernier bus pour le sud courir [ better to be drown in ya own blood (own blood) sinner better to be shot under guyakill sun ] crasse crasse craquèle à la paume un volcan promesse d'un enterrement rapide et mérité crasse petite mélodie entêtante tu t'écartes tari à la source d'un fleuve d'alcool et de vent crasse écarts et cavalcades enfile à ta suite nuages et champs de cotons crasse crasse crasse craquèle ton ombre absente marquée au fer du soleil qui règne en maître crame la ville t'étend promesse d'une fin rapide et redoutée crasse fuyante lâche au coin ton ombre plane crame absente ton ombre plane crame tenace () la ville se pare rythmes insouciants un cocktail qui détend petite mélodie enivrante un tarmac pour sauterelles géantes jette un os nouveau venu ancien perdu découvre meute de chiens hurlants et fleurs qui crament au soleil vaste vaste débâcle () crasse danse et luth du diable en personne les rangs se serrent viscères blêmes les ennemis se déterrent mais lesquels crasse la langue recule refuse crache les luttes fratricides se révèlent crasse les luttes fratricides se relèvent tenaces

about

All tracks composed by ferocious41
Lyrics: Netchaïev, FAI, Prole
Arrangements by ArtTK
Mix and Mastering: S. Mellah, ArTk at Fulminate Studio
GVA, 2019

Axe du Mal.


Booking: artk74@yahoo.fr

credits

released August 15, 2019

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